Les projets de construction d’écoles

Voici quelques faits ayant trait à l’éducation :

  • Environ 400 millions d’enfants dans les pays en voie de développement n’ont aucune chance d’aller à l’école et de terminer l’éducation de base (école primaire), ceci à cause de la pauvreté des parents et de l’insuffisance d’infrastructures scolaires. Les filles ne peuvent être éduquées à cause de la distance entre leurs villages et les écoles environnantes ;
  • En République démocratique du Congo, environ 3 millions d’enfants parmi les filles à l’âge de scolarisation étaient attendus dans les écoles du pays (année scolaire 2012-2013). L’évaluation faite au séminaire national (comité des évaluateurs de l’Education Nationale) de Mbandaka (Province de l’Equateur) montre que seulement 700.000 enfants ont été à l’école pour l’année scolaire qui s’achève, soit un manque de 2.3 millions d’enfants (restés à la maison pour les deux – trois raisons majeures) ;
  • Les ouvrages de l’Ecole Primaire Musasa sont une des solutions, moindre soit-elle, à ce problème de manque d’infrastructures scolaires dans la province du Kasai Occidental et Oriental, surtout en faveur des enfants de ce milieu rural. Les filles ont été inscrites en grand nombre dans cette école pour l’année scolaire qui commence (2013-2014).

Tous les partenaires: grands, moyens et petits doivent en être fiers. Pour ceux qui pensent avoir contribué avec 100 dollars, un adage dit : ce sont les petites sources qui remplissent les océans. Grâce aux petits dons, de grands bâtiments ont été réalisés dans un pays en situation post-conflit.

Le Gouverneur de la Province du Kasai Occidental, Alex KANDE MUPOMPA, qui nous a reçu en date du 13 août 2013 (Diku Dilenga Congo et partenaires à Kananga) a promis de présider personnellement l’inauguration de trois ouvrages au village Bena Lala (65 Km de la Ville de Kananga), le 7 septembre 2013, sauf une occupation politique
de dernière minute. (équivalent du Premier Ministre de l’Ontario ou de Québec).

Ce jour sera maximisé pour organiser la collecte des fonds en faveur du projet de construction d’un Hôpital Secondaire de Référence dans la Zone de Santé de Tshikula. L’organisation matérielle de l’événement exige quelques moyens financiers. Nous pouvons compter sur les contributions volontaires de nos amies au Canada. Nous y avons déjà mis notre part.

Avec toutes nos amitiés,
Rév. Tambwe Musangelu

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Promotion de la Gouvernance Participative pour un Développement Durable et Intégré en RDC

Dans le cadre de développement durable et intégré, il est créé une Synergie entre le Réseau d’Education Civique au Congo, RECIC en sigle et la Commission Episcopale Justice et Paix, CEJP en sigle au niveau national. L’Organisation DIKU DILENGA est une structure membre du RECIC et Point Focal de celui- ci dans la Province du Kasaï Occidental. Mais aussi la CEJP est représentée en province par la Commission Diocésaine Justice et Paix (CDJP). Ainsi au niveau provincial ce projet est piloté par l’Organisation DIKU DILENGA et la CDJP comme structures représentant respectivement le RECIC et la CEJP. Cette synergie vise à renforcer les capacités et à mieux réaliser ce projet qui doit déboucher sur le développement heureux de la population quant bien sûr il y a bonne gouvernance participative.

Le projet tend à améliorer les conditions de vie de nos communautés respectives en les faisant participer à toutes les décisions qui les concernent. Comme dit – on : « ce que vous faites pour moi sans moi est contre moi ». En d’autres termes, toutes les décisions et toutes les lois qui sont votées pour la population sans une consultation préalable de celle – ci ce sont des lois et décisions qui ne connaissent pas d’application et qui s’érigent contre les intérêts du peuple. D’où il faut à tout moment faire participer le souverain primaire à tout ce que les élus nationaux et provinciaux doivent adopter et voter comme lois et édits. Il en est de même des autorités locales qui, avant de prendre une décision, doivent d’abord faire participer le peuple car tout ce qui est fait n’est que dans l’intérêt général de ce peuple.

Mais il est constaté que tout ce que nos élus nationaux et provinciaux font ne va que dans l’intérêt particulier et non général et toutes ces lois ne sont taillées que sur mesure. Le peuple ne trouve pas son compte, il est marginalisé et c’est tout qui est à la base des frustrations, jalousie, haine, rébellion, résignation, répugnance, mépris, etc.

Vu que la non participation de la population à la gestion de la res publica (chose publique) a beaucoup contribué au sous – développement en République Démocratique du Congo (RDC), la Synergie RECIC et CEJP a pensé à mettre en œuvre le Projet de Promotion de Gouvernance Participative pour un Développement Intégré et Durable; car il y a d’abord une problématique qui a été posée qui est celle de savoir : Comment faire pour que la voix des faibles, pauvres, plus démunis soit entendue pour qu’au final leurs conditions de vie soient améliorées ? Tout cela part d’un contexte marqué par la pauvreté plus accrue soit 71% de la population qui vit en dessous du seuil de la pauvreté quelles que soient les potentialités de la RDC. Il y a encore la cause de la misère qui est caractérisée par la mauvaise gouvernance et cette mauvaise gouvernance est due à :

  1. Non prise en compte des besoins et aspirations des populations par les décideurs;
  2. Fossé entre les élus et leur base;
  3. Fossé entre les Autorités Locales et leurs gouvernés.

Par contre, les décideurs sont tenus à la redevabilité ou l’obligation de rendre compte de tout ce qu’ils font car ils travaillent et sont payés avec l’argent du contribuable congolais qui est aujourd’hui le premier plus pauvre. Ce qui montre que la mauvaise gouvernance favorise toutes les antivaleurs (fraude, corruption, concussion, etc.) et c’est le souverain primaire qui subit les effets de cette mauvaise gouvernance. Pour lui épargner de tout ceci, il faut qu’il participe pleinement à la gestion de la chose publique et qu’il soit un élément déterminant dans tout ce qui doit être pris comme décision ou qui doit être voté comme loi afin que tout puisse lui profiter.

Brièvement, ce sont toutes ces raisons qui ont milité à l’élaboration de ce projet important qui doit apporter tant soit peu des changements plus profonds dans nos communautés. Ce projet a un budget de 1.198.092,43 €. Il a bénéficié du financement de l’Union Européenne et de la contribution de Christian Aid. Sa durée est de 3 ans et il est piloté dans 5 provinces d’intervention ci – après : Bandundu, Kasaï Occidental, Kasaï Oriental, Equateur et Kinshasa. Il a été conçu et élaboré par le RECIC et la CEJP sous la coordination de Christian Aid.

Son objectif global est : Promouvoir les échanges entre les populations organisées à la base en Comités Locaux de Gouvernance Participative (CLGP) et leurs élus locaux au travers des Cellules de Liaison Parlementaires Provinciales (CLPP) en vue d’un développement intégré et durable.

Son objectif spécifique est : Renforcer les capacités des animateurs de 5 CLPP et de 60 CLGP dans leur promotion de l’interaction et des stratégies d’influence auprès des élus locaux.

De ces objectifs il y a bien sûr les résultats attendus que nous ne saurons pas détailler pour le moment.

Du 08 au 12 Avril 2013, un Atelier de Renforcement des Capacités des Dynamiques communautaires CLPP (Cellules de Liaison Parlementaires Provinciales) a été organisé à Kinshasa et a réuni les membres du RECIC et de la CEJP des provinces cibles.

Du 24 au 27 Juin 2013, un Atelier Provincial a été organisé par la CLPP/Kasaï Occidental en faveur des Animateurs des CLGP (Comités Locaux de Gouvernance Participative) venus des Territoires de Mweka, Luebo, Luiza et de la Ville de Kananga. Pour l’instant, ils sont déjà déployés sur terrain pour récolter les besoins de la population afin de les rassembler et les remonter au niveau de la CLPP qui doit à son tour les transmettre à l’Assemblée Provinciale, au Gouvernement Provincial, à la Mairie et au Bourgmestre afin de trouver des solutions aux problèmes qui guettent la population.

La CLPP est composée de 3 membres dont un Coordonnateur, un Animateur et une Secrétaire. Au Kasaï Occidental l’Abbé Gabriel NYIME est Coordonnateur, il est de la Commission Diocésaine Justice et Paix; Me Jean Paul MPATA est Animateur, il est du Réseau d’Education Civique au Congo (RECIC) et Mme Agnès BIAKASASA, Secrétaire et membre de la CDJP. Nous avons déjà rencontré les deux Honorables Présidents (Titulaire et son vice) pour présentation officielle, présentation du projet et demande d’accréditation pour nous permettre tout accès aux séances plénières et Bureau de l’Assemblée Provinciale. Ils ont été contents de ce projet et ont promis une franche collaboration entre l’Assemblée Provinciale et la CLPP et la mise à notre disposition des édits provinciaux afin d’en assurer la vulgarisation à la base. Ils ont encore promis que pour les édits techniques, ils auront à mettre à notre disposition la Commission concernée pour des explications y relatives afin que nous puissions mieux les vulgariser à la base.

Chaque CLGP est composé de deux membres dont l’un du RECIC et l’autre de la CDJP. Leur structuration a 20 membres devant travailler avec eux à la base dans l’analyse sociale, récolte des problèmes communautaires, rédaction des cahiers de charge, etc.

Me Jean Paul MPATA
Gestionnaire des Ressources et Chargé des Questions Juridiques de l’ONG DIKU
Animateur de la CLPP/Kasaï Occidental
Projet Promotion de Gouvernance Participative pour un Développement Intégré et Durable

Tél. +243 999-774-694
+243 810-540-841
E-mailjean-paul.mpata@diku-dilenga.org
atutabala@yahoo.fr
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Appel aux dons pour la construction d’un centre de soins À Bena Lala

Ceci est pour confirmer l’adage d’un ami de longue date Yvon Dupuis au Québec qui m’a toujours répété : un petit groupe de personnes bien intentionnées peut changer le monde. Voyez sur les photographies suivantes la différence entre l’ancienne école Musasa de Bena Lala et la nouvelle !

Ces bâtiments logeront l’école secondaire Agro-Vétérinaire dans l’après-midi et l’extension de l’Institut Supérieur Pédagogique de Tshikula (Université) les soirs de 18 à 23 heures. Nous cherchons un donateur ou prêteur qui peut assister pour l’achat des panneaux solaires pour ces bâtiments. Heureusement,
quelques volontaires en provenance du Canada se seraient déjà prononcés pour financer un projet de fourniture d’eau potable (forage et pompe manuelle).

Notre travail de 7 mois avec toutes les difficultés d’acheminement des matériaux de construction sur l’axe routier Kananga – Bena Lala de 63 Km seulement. Les matériaux ont été par moment évacués sur des vélos et/ou des têtes des hommes, femmes et jeunes de bonne volonté. Il reste à construire un centre de santé dans ce village devenu assaini.

Les auditeurs de la Banque Mondiale ont visité nos projets de construction des écoles et marchés à Matamba et Kananga le 17 juin, à Demba le 18 juin et à Bena Lala le 19 juin 2013. Ils ont coté nos trois projets d’écoles comme étant les meilleurs (durabilité, beauté, protection de l’environnement, dans la RD-du-Congo et en Afrique Centrale.

Plus de 60 familles ont trouvé un petit emploi autour de ce projet et la communauté locale (Bena Lala) a été bien coté pour avoir apporté leur contribution locale en nature à hauteur de 8 500 dollars américain sur 90 000 dollars requis pour l’ensemble du projet. C’est la première communauté qui se distingue car ailleurs ce sont les leaders des coins qui payent à la place des communautés.

Maintenant, Diku Dilenga et son entreprise MAKIGA travaille au montage financier pour offrir à cette brave communauté un second projet d’excellence : un centre de santé de référence. Aussi pour nous aider dans cette tâche, nous sollicitons vos dons. Veuillez écrire à « info @ diku-dilenga.org » pour que nous prenions contact avec vous directement.

Sincèrement,
Rév. Tambwe Musangelu

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Nouvelles de RDC

Un contexte difficile

À cause d’une panne technique de notre fournisseur de service VODACOM RDC, nous avons été sans connection Internet depuis le 13 mai dernier. Les solutions alternatives que nos avons à l’occasion utilisées sont dispendieuses et peu fiables.

À cela s’ajoutent les coupures d’électricité qui nous laissent avec juste 2 à 3 heures d’électricité tout les 2 à 3 jours. En cas d’urgence, nous avons pu utiliser un groupe électrogène mais à 2 dollars américains le litre, c’est aussi vraiment une solution très dispendieuse.

Le microcrédit

Avec nos programmes de microcrédit, nous continuons de supporter quelques 5 010 familles au Kasai Occidental. Le travail de Diku Dilenga est très apprécié sur le terrain, tant par nos membres que par les autorités gouvernementales, quelque soit leur palier.

À Kinshasa, 50 familles, soit environ 500 personnes, ont bénéficié du microcredit depuis septembre 2011. À ce jour, certains membres ont obtenus des prêts de 1 000 dollars américains alors qu’ils avaient commencés comme tous avec un prêt 100 dollars américains. Ces entrepreneurs ont non seulement sortis leur famille du gouffre mais aident maintenant d’autres à s’en sortir.

Nous sommes atelés à finaliser notre dossier de demande d’agrément (Institution de Microfinance) auprès de la Banque Centrale du Congo. La tâche n’est pas facile mais nous y comptons y parvenir dans les deux mois à venir.

La réfection de route

Depuis peu, nous encadrons les populations sur l’axe routier Kananga – Bena Lala dans l’entretien d’une route de 100 Km. Cette piste de désserte agricole relie les deux provinces du Kasai Occidental et Oriental, facilite toutes les operations économiques : acheminement des produits vivriers vers les centres urbains et l’approvisionnement des villages en produits manufacturés, médicaments courants, manuels scolaires pour les enfants, etc. Quelques personnes font le Taxi-Moto pour faciliter le transport des personnes et des biens. Les malades et les femmes enceintes sont evacués vers les centres des soins et des vies sont sauvées.

Les revenus réalisés par les parents sur cet axe routier sont investis dans l’education des enfants et dans les soins de santé en cas de maladies. Les équipes mobiles des Zones de santé de Tshikula et Tshikaji (Kasai Occidental) circulent pour les activités d’éducation sanitaire, les consultations
prénatales et nourrissons (Protection Maternelle et Infantile).

L’aide agricole

Environ 4 000 familles encadrées dans l’agriculture dans le Secteur Dibatayi (Kasai Occidental) ne vont plus à Kananga (Chef-Lieu de la Province) pour acheter du maize comme en 2009. Aujourd’hui, ce sont elles qui vont vendre ce produit alimentaire à Kananga et Mbujimayi (deux villes de plus de 3.5 millions d’habitants).

Diku Dilenga et Makiga

Diku Dilenga et son Entreprise MAKIGA appuient fortement le secteur de l’éducation et du social dans la construction moderne des écoles et marchés: École Bubanji à Demba remis à la communauté le 23 fevrier, le marché Salongo de Kananga II remis à la communauté le 18 avril, l’école Musasa de Bena Lala (remise officielle planifiée pour la fin juillet 2013), accompagnement technique dans la construction de l’école Tshimajiba de Matamba déjà remise à la communauté le 29 fevrier 2013.

Beni au Nord Kivu

À Beni, Diku Dilenga travaille à l’éducation des familles déplacées par les guerres civiles pour leur prise en charge alimentaire. Nous collaborons avec le Programme Alimentaire Mondial et visons particulièrement la malnutrition et la sous-alimentation. Le microcrédit permet un meilleur accès aux semences améliorées et les membres sont accompagnés pour la réalisation de leurs champs. Notre tracteur est opérationnel et aide à l’occasion.

Rev. Tambwe Musangelu

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Demande d’aide pour le soutien des activités de réfection des routes

Lorsque la pauvreté se loge dans les régions rurales, Diku Dilenga apporte son aide en organisant notamment des coopératives agricoles qui aident la population à avoir une alimentation plus prévisible et qui offrent une source de revenus quand les surplus peuvent être vendus sur les marchés des villes et villages aux alentours.

Mais quand les voies de communications sont dans un état impraticables, cela limite les possibilités d’échange. En République démocratique du Congo, environ 60% de la population réside dans les zones rurales.

Diku Dilenga a besoin de partenaires pouvant aider au financement de projets de réfection routière, par des dons ou des prêts. La méthode privilégiée est la méthode THIMO (Technique à haute intensité de la main d’œuvre). Voici quelques avantages tels que rapportés sur un document de blogcooperation.be :

L’approche THIMO proposée est adaptée à la situation des routes de desserte agricole du point de vue des normes techniques et du volume de trafic attendu. Ses avantages sont nombreux :

  • Elle permet de responsabiliser la population riveraine de la route par leur implication directe dans la réhabilitation et l’entretien;
  • Elle favorise et encourage l’adhésion des populations à la recherche des solutions aux problèmes qui les concernent (approche participative);
  • Elle permet de créer un processus endogène de maintenance grâce aux ressources humaines locales qui seront utilisées et aux matériels de travail qui sont trouvables dans le milieu;
  • Elle permet, par ricochet, de réaliser une économie substantielle des devises nécessaires pour le pays et de créer des emplois lors de l’exécution de différents chantiers dans l’aire du projet;vElle augmente les chances d’une pérennisation des actions au niveau des bénéficiaires après
    la période de financement du projet;
  • Elle permet de toucher un grand nombre de bénéficiaires.

Pouvons-nous le faire avec votre contribution, moindre soit-elle ? Veuillez écrire à « info @ diku-dilenga.org » pour que nous prenions contact avec vous directement.

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Remise de l’Institut Bubanji aux bénéficiaires

Sur les photographies suivantes, Diku Dilenga et son entreprise Makiga RDC ont l’honneur de remettre les clés des nouveaux bâtiments de l’Institut Bubanji de Demba, au Kasaï occidental.

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État des projets de construction dans le domaine scolaire

Voici un petit bilan de la construction des bâtiments pour l’institut Bubanji de Demba :

  • Lors du chantier, 37 personnes ont participé à la construction : maçons, aides-maçons, charpentiers, menuisiers, gardiens de nuit.
  • À terme, deux personnes resteront à l’emploi de l’institut pour s’assurer du bon état des bâtiments et faire les travaux appropriés.
  • Dorénavant, plus d’enfants pourront recevoir une éducation. Cela se fera en deux groupes : un le matin et l’autre l’après-midi.

Par son action, Diku Dilenga accompagne le monde dans la lutte contre la pauvreté en offrant aux enfants un environnement serein propice à l’apprentissage.

Maintenant, Diku Dilenga participe au projet de construction de bâtiments pour l’école primaire Musasa à Bena Lala, et encadre le projet de construction de l’école primaire Tshijiba de Matamba qui est assuré par l’entreprise Makiga RDC.

Rev. Tambwe Musangelu

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Réfection du marché Salongo de Kananga

Kananga, au Kasaï Occidental, dispose de plusieurs marchés publiques. C’est sur le second marché au nom de Salongo que les photographies suivantes ont été prises. Le projet en question vise à réhabiliter deux pavillons et à en construire quatre autres. Les récipiendaires des micro-prêts de Diku Dilenga, souvent des femmes, sont des habitués de ce marché. Ce marché modernisé leur
offrira la possibilité de vendre pendant plusieurs heures, d’améliorer ainsi leurs revenus et leurs conditions de vie (réponse directe aux Objectifs du Millénaire pour le Développement).

La poplation de Kananga manifeste beaucoup d’attente pour ce marché mais tout le monde n’aura pas de l’espace. C’est pourquoi, Diku Dilenga toque aux portes de ceux qui peuvent assister financièrement pour ajouter d’autres pavillons, placer l’éclairage solaire et bétonner la cours pour éviter la boue pendant la période de pluie.

Si vous êtes intéressé au projet ou pouvez nous réferrer quelqu’un qui le serait, je vous serai gré de bien vouloir prendre contact avec moi à l’adresse : reverend.tambwe@diku-dilenga.org. Sincèrement merci.

Sur ce projet, Diku Dilenga a agit en tant qu’Agence Locale d’Exécution (ALE) qui reçoit des fonds du donateur, sélectionne une entreprise qui doit exécuter le projet après avoir répondu à un appel d’offre public en bonne et due forme. L’ALE signe le contrat avec l’entreprise moins disante mais efficace et lui attribue le marché et les ressources. Nos deux ingénieurs en construction suivent les exécutions techniques, et le Bureau des projets au sein de Diku Dilenga accompagne les aspects administratifs, sociaux, économiques, environnementaux et écologiques.

Diku Dilenga compte plusieurs membres dans ce marché dont les activités sont renforcées par notre programme de Microcrédit. Une de nos membres, madame Bindingisha, est présidente de la coopérative des vendeuses et vendeurs des poules etpoulets. Grâce à Diku Dilenga, les membres ont amélioré leurs revenus et leurs conditions de vie.

L’entreprise GECRAI de Kananga a été retenue par Diku Dilenga (ALE). Ce projet qui fait la visibilité de la ville ne pouvait être confié pour supervision et suivi qu’à une ONG qui a une forte et bonne expérience. Ce marché est situé sur l’avenue principale qui vient de l’aéroport vers le centre ville. Les matériaux traditonnels ont été utilisés notamment les tôles, le ciment, les clous, le bois et la brique cuite/bloc-en-ciment. En conclusion, Diku Dilega est totalement impliquée pour les raisons suivantes :

  • sa capacité de suivi/supervision/évaluation des projets communautaires,
  • sa rigueur et sa transparence,
  • ses capacités techniques et l’expérience dans le domaine des projets de construction et de réhabilitation,
  • son offre de formation pour le renforcement des capacités.

Rev. Tambwe Musangelu

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Appel au soutien financier du projet de lampes solaires

La République déocratique du Congo est un pays avec de grandes richesses dont le barrage Inga, plus grand barrage du monde, est un exemple. Cependant, la plupart de la population des villes et villages demeurent dans les ténèbres une fois la nuit tombée.

Pour palier à cette infortune, Diku Dilenga a signé un contrat avec la compagnie chinoise Trony, basée à Hong-Kong, et qui a un siège à Nairobi, au Kenya. Initiallement, pour un projet pilote à Kananga et le Kasaï Occidental, Diku Dilenga a réceptionné 300 kits dont la moitié à deux lampes et l’autre moitié à une lampe. Ce produit donne la lumière la nuit (25 W, 50 W, 75 W et 100 W) avec des durées d’utilisation allant de 28 à 8 heures de temps suivant les walts consommés, il permet le chargement de deux téléphones mobiles en une heure de temps environ.

Cet équipement solaire a permis de générer des emplois parmi des familles pauvres avec le chargement de téléphones cellulaires. Il y a aussi des activités de vente de lumière la nuit, aux petits vendeurs qui restent tard aux marchés. Les lampes sont aussi louées les jours de fête, lors de deuils, ou de réunions spirituelles. Dans les villages autour de Kananga, les lampes sont même utilisées dans les dispensaires pour les activités de soins la nuit.

Trony est une des six entreprises de production au monde dont les produits solaires ont approuvés par la Banque Mondiale. Trony nous donne la possibilité de gagner entre 3 et 5 dollars par kit
de lampe solaire. Si au cours de 36 mois nous pouvons développer la capacité de vendre 100 000 kits, notre bénéfice serait supérieure à 300 000 USD. L’appui aux projets et programmes des plus pauvres deviendrait ainsi réalisable. Mais nous devons payer 50% de la facture avant la réception des produits et payer le solde à la réception des produits. Diku Dilenga Congo a donc besoin d’un partenaire qui puisse investir dans cette affaire qui rapporte et qui donne la vie aux plus pauvres.

Si vous êtes intéressé au projet ou pouvez nous réferrer quelqu’un qui le serait, je vous serai gré de bien vouloir prendre contact avec moi à l’adresse : reverend.tambwe@diku-dilenga.org.

Rev. Tambwe Musangelu

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La fin des constructions à l’institut Bubanji de Demba, Kasaï Occidental

Les constructions sur le site de l’Institut Bubanji, à Demba, au Kasaï Occidental, sont en phase de finalisation.

Diku Dilenga supervise l’exécution du projet. Le projet changera en bien l’environnement éducatif des enfants congolais de ce territoire, même ceux venant de Kananga.

Sur ce projet, Diku Dilenga a agit en tant qu’Agence locale d’exécution (ALE) qui reçoit des fonds du donateur, sélectionne une entreprise qui doit exécuter le projet après avoir répondu à un appel d’offre public en bonne et due forme. L’ALE signe le contrat avec l’entreprise moins disante mais efficace et lui attribue le marché et les ressources. Nos deux ingénieurs en
construction suivent les exécutions techniques, et le Bureau des projets au sein de Diku Dilenga accompagne les aspects administratifs, sociaux, économiques, environnementaux et écologiques.

Les projets de construction des écoles à Demba et à Musasa/Bena Lala ont été confiés à Diku Dilenga en tant qu’ALE pour assurer le suivi et la supervision. Diku Dilenga a retenu après compétition Makiga RDC pour l’exécution de ces deux projets de construction. L’équipe d’évaluateurs venus de Kinshasa a visité le projet Bubanji le dimanche 23 septembre et a attribué à 90% des résultats réalisés par l’entreprise Makiga RDC. Le projet Bena Lala est encore au niveau des fondations qui sont toutes terminées.

La population de Demba, les autorités politoco-administratives, les élèves de cet établissement, les membres du personnel (enseignant/administratif/ouvrier) et les Députés provinciaux
de cette zone géographique ont exprimé leur grande satisfaction après qu’ils aient attendu ce rêve 15 ans durant. Toutes les autres organisations qui sont venues avant sont parties et disparues avec les fonds du projet. Diku Dilenga et Makiga ont réussi là où les autres ont échoué.

Qui aimeriez vous rejoindre pour bâtir des infrastructures de base en vue d’offrir aux plus pauvres un environnement éducatif, sanitaire et autres plus propre et plus fonctionnel ?

Rev. Tambwe Musangelu

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